L’association Kollektif Drwa Imin, déjà engagée comme son nom l’indique, dans la lutte pour les droits humains et contre toutes formes de violences contre les groupes vulnérables dont les femmes, les enfants et les groupes LGTB, compte donner une nouvelle impulsion à son combat.
Une étude qu’elle a menée, a démontré que la violence en milieu domestique a non seulement des effets psychologiques sur les victimes, mais aussi un coût économique. Parce que ceux qui en sont victimes portent des séquelles qui nécessitent des soins médicaux ou qui provoquent des effets aggravants tels que des pertes d’emplois.
Le collectif a lancé son site web hier mercredi 29 mars. Il va militer en faveur des modifications à être apportées dans la loi sur la protection contre la violence, a expliqué Dhanalakshmi Goundan, directrice de Young Queer Alliance et membre du Kolektif Drwa Imin, dans une intervention sur les ondes de Wazaa FM, hier, jeudi 30 mars.
L’association est une plateforme qui regroupe trois organisations non-gouvernementales, notamment, le Gender Links, Young Queer Alliance et Collectif KDZM (Kolektif Drwa Zanfan Morisien). Ces derniers collaborent dans les efforts de lutte contre la violence envers la femme, les personnes de la communauté LGBT (lesbian, gay, bisexual, transgenres, entre autres) et les enfants.
Genres : Kollektif Drwa Imin lance une recherche sur le coût économique de la violence