La Coupe du monde féminine 2023 est la plus grande jamais organisée à ce jour.
La neuvième édition de la Coupe du monde féminine de la FIFA débute aujourd’hui jeudi 20 juillet à Auckland avec la rencontre entre la Nouvelle-Zélande, pays organisateur, et la Norvège. Entre le 20 juillet et le 20 août, 32 équipes s’affronteront au cours de 64 matches sur 10 sites différents, faisant du tournoi de cette année le plus grand à ce jour.
Pour la première fois, la Coupe du monde féminine sera organisée dans deux pays : L’Australie et la Nouvelle-Zélande. C’est également la première fois qu’elle se déroule dans l’hémisphère sud. Les matches se dérouleront dans six stades en Australie (Brisbane, Adélaïde, Perth, Melbourne et Sydney) et dans quatre stades en Nouvelle-Zélande (Dunedin, Auckland, Hamilton et Wellington).
Un nombre record de 32 équipes participeront à cette Coupe du monde, soit huit de plus que lors des deux précédentes éditions. Parmi elles, on retrouve des visages familiers – les États-Unis, l’Allemagne, double championne du monde, l’Angleterre, championne d’Europe, et les Pays-Bas, vice-champions du monde en 2019 – ainsi que huit équipes qui font leur entrée dans la compétition : Haïti, le Maroc, le Panama, les Philippines, le Portugal, la République d’Irlande, le Vietnam et la Zambie.
Selon les spécialistes du foot, les États-Unis sont les favoris du tournoi. Effectivement, l’équipe nationale féminine des États-Unis arrive en tant que double championne en titre et sans doute favorite pour remporter un troisième titre consécutif sans précédent et un cinquième au total. Cependant, beaucoup s’attendent à ce que la Coupe du monde de cette année soit une compétition beaucoup plus serrée que les éditions précédentes, en particulier avec les nations européennes qui se rapprochent de l’équipe américaine de haut vol.
Coupe du monde féminine : La compétition est organisée par la Nouvelle-Zélande et l’Australie
