MRIC : la technologie pour la revalorisation du secteur agricole

𝐿’𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑔𝑟𝑖𝑐𝑜𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡𝑒́.

Un séminaire d’une demi-journée sur l’Internet des objets (IOT), l’intelligence artificielle (AI) et la robotique dans l’agriculture sera bientôt organisé à Ebene par le Conseil mauricien de la recherche et de l’innovation.

L’objectif de ce projet est d’utiliser ces nouvelles technologies dans le secteur agricole afin d’atténuer les pénuries de main-d’œuvre, de s’adapter au changement climatique, d’automatiser les tâches manuelles et d’encourager les jeunes à poursuivre des carrières dans l’agriculture.

Ce projet a été divisé en trois étapes :

Étape 1 : achat de quatre dispositifs de l’internet des objets (IOT) – un pulvérisateur agricole par drone, un système d’irrigation automatisé, une station météorologique automatisée et des robots Farmbot – ainsi que la connexion et la combinaison de leurs logiciels.

Étape 2 : Configurer et régler les quatre gadgets. Les logiciels complexes des quatre appareils et les conditions météorologiques défavorables qui ont entravé nos opérations ont constitué les principaux obstacles de la phase d’essai.

Étape 3 : La nouveauté du projet réside dans la manière dont les données ont été extraites des quatre appareils, intégrées dans une plateforme de signaux, et une nouvelle application mobile a été créée pour faciliter la compréhension des données par les utilisateurs.

Pour sensibiliser le public à cette initiative, une série d’événements de sensibilisation a été organisée pendant huit mois dans les espaces de réunion des entreprises, les écoles secondaires, l’université de Maurice, ainsi que parmi les planteurs et les agriculteurs.

Il convient de noter qu’un parc agro-technologique pour les technologies émergentes a été créé et installé à Mon Dessert Alma par Neos Core Ltd. Ce site web est principalement destiné à présenter et à guider les clients à travers les nouvelles technologies. L’étude a été financée par l’Innovation Boost Grant du Mauritius Research and Innovation Council (MRIC).

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