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Faits divers

Liaison extraconjugale : enlevé, battu et abandonné à Balaclava

Après l’avoir enlevé et roué de coups, l’un de ses agresseurs lui a lancé : « To pe gard mo fam. Akoz sa to pe gagn baté».

Soirée cauchemardesque pour un habitant de Goodlands, lundi 2 décembre. Il a été enlevé par des individus, dont une femme, qui ont débarqué à son domicile.

Ces derniers l’ont trainé de force à bord d’une voiture et l’ont conduit dans un endroit isolé à Balaclava. Sur place, ils l’ont roué de coups avant de l’abandonner. Il a été livré à son triste sort.

Ce sont des policiers de Terre-Rouge qui l’ont emmené au Sir Seewoosagur Ramgoolam National Hospital (SSRN). La victime portait des blessures sur tout le corps et des ecchymoses au visage.

Il a relaté dans sa déposition que le jour de son enlèvement, une femme s’est présentée chez lui. C’est son père, selon la victime, qui a conduit la femme dans sa chambre. Quelques instants après, trois individus armés de barres de fer ont fait irruption dans la pièce et ont commencé à lui asséner des coups. Puis, ils l’ont trainé de force à l’extérieur et l’ont fait entrer dans une voiture.

Puis, ils ont mis le cap sur Balaclava. Après l’avoir roué de coups, l’un de ses agresseurs lui a lancé la phrase suivante : « To pe gard mo fam. Akoz sa to pe gagn baté !». Il a confié aux enquêteurs qu’il est en mesure d’identifier ses agresseurs. Ces derniers sont activement recherchés.

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