𝐼𝑙 𝑎 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢 𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑖̂𝑙𝑒 𝑀𝑎𝑢𝑟𝑖𝑐𝑒 𝑠𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑖𝑎𝑢𝑥, 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠.
L’île Maurice est devenue une source importante d’investissements directs étrangers pour l’Inde, avec un investissement cumulé de Rs 802 milliards et Rs 200 millions (175 milliards USD) en juin 2024. C’est ce qu’a affirmé le ministre des Services Financiers et de la Bonne Gouvernance, qui a participé à un webinaire à la FSC House à Ebène, sur la Mauritius Variable Capital Company (VCC), organisé à l’initiative du cabinet d’avocats indien Cyril Amarchand Mangaldas, (CAM) en collaboration avec le Financial Services Commission (FSC) de Maurice, jeudi 26 septembre à Ebène.
Il a fait remarquer que l’île Maurice est considérée comme un centre financier compétitif, doté d’un cadre politique et réglementaire stable, d’une gouvernance solide et de nombreux accords internationaux qui rassurent les investisseurs.
Le ministre a reconnu que l’île Maurice se classe très bien dans les indices mondiaux, mettant en valeur son environnement favorable aux entreprises. Il a ainsi fait savoir que l’île Maurice aspire à être une porte d’entrée pour les investissements en Afrique et a exhorté les participants à s’engager activement dans l’exploration des opportunités de collaboration dans les VCC pour un bénéfice mutuel Le ministre de tutelle a souligné que le webinaire avec CAM sert de point de reconnexion après les sessions de réseautage précédentes en Inde. La discussion a porté sur la VCC, qui permet aux promoteurs de fonds d’exploiter plusieurs sous-fonds au sein d’une même structure, répondant ainsi à la demande croissante de gestion de patrimoine parmi les familles indiennes, a-t-il noté.
Le ministre des Services Financiers et de la Bonne Gouvernance a souligné que le partenariat solide entre l’île Maurice et l’Inde est fondé sur des liens culturels, historiques et économiques profonds. Par ailleurs, il a observé que des accords clés, notamment la Convention Inde-Maurice pour éviter la double imposition, signée en 1982 et l’Accord global de coopération et de partenariat économique établi en 2021, sont essentiels pour faciliter le commerce et l’investissement.