𝐿𝑒 𝑚𝑎𝑔𝑎𝑠𝑖𝑛 𝑛’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢’𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́𝑠. 𝑈𝑛𝑒 «𝑠𝑎𝑙𝑒𝑠𝑔𝑖𝑟𝑙» 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑖𝑒 𝑑’𝑢𝑛 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑛𝑢.
Qui aurait cru que ce magasin servait de couverture pour un salon de massage clandestin dans la capitale ? Personne ! Et pourtant, ce lieu était très fréquenté par des hommes de tous âge, dont des hommes d’affaires.
Après avoir eu vent que le salon servait de maison close, les limiers de la Criminal Investigation Division (CID) et ceux de la DCIU ont fait une descente sur place.
Lorsqu’ils sont arrivés, ils ont entendu du bruit en provenance d’une chambre ayant éveillé leur attention. Du fait que la porte était fermée de l’intérieur, Ils ont demandé aux occupants de l’ouvrir, mais sans obtenir de résultats.
Les policiers n’ont alors eu d’autre choix que de l’enforcer. C’est là qu’il se sont retrouvés face à une «salesgirl» en sous-vêtements et d’un homme en tenue d’Adam. Interrogée par les enquêteurs, la « fille a avoué qu’elle a l’habitude d’avoir des relations sexuelles avec des clients contre paiement. Elle obtenait au minimum Rs 600 par client.
L’homme, âgé de 68 ans a confié pour sa part aux policiers, qu’il vient au moins une fois par mois dans le salon clandestin. Une autre masseuse a été interpellée dans une autre chambre. Elle est restée muette face aux questions des enquêteurs.
Le propriétaire est arrivé sur place Peu de temps après, le propriétaire est arrivé sur place et les limiers de la CID ont pu mettre la main sur un registre contenant les noms des fidèles clients.
