Leela Devi Dookun-Luchoomun a qualifié l’initiative d’effort stratégique pour améliorer les normes dans le cadre éducatif et élever les établissements d’enseignement vers de nouveaux sommets d’excellence et de reconnaissance mondiale.
Un atelier de travail de trois jours consacré à la mobilité, à la reconnaissance académique et au African Credit Transfer System (ACTS), organisé à l’initiative de la Higner Education Commission (HEC) de Maurice avec le soutien de Southern African Regional Universities Association (SARUA) et du Secrétariat de la SADC, a été lancé par la vice-Première ministre, ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur, de la Science et de la Technologie, Leela Devi Dookun-Luchoomun, à l’hôtel Voilà Bagatelle, à Moka.
L’objectif de l’atelier est de promouvoir le dialogue régional sur l’importance de l’ACTS pour la mobilité internationale et la reconnaissance académique, avec une identification claire des principaux défis pour sa mise en œuvre.
La tenue de cet événementiel témoigne de l’engagement collectif à faire progresser les normes de l’enseignement supérieur à Maurice et sur tout le continent et à favoriser l’excellence dans les institutions, a affirmé la ministre Dookun-Luchoomun dans son discours. « L’objectif de l’atelier », a-t-elle souligné, « est de tracer une voie révolutionnaire pour l’assurance qualité et de développer un système d’information de gestion de l’éducation robuste pour la région de la SADC. »
Par ailleurs, Leela Devi Dookun-Luchoomun a qualifié l’initiative d’effort stratégique pour améliorer les normes dans le cadre éducatif et élever les établissements d’enseignement vers de nouveaux sommets d’excellence et de reconnaissance mondiale. Rappelant que l’assurance qualité et l’accréditation étaient le fondement de l’excellence éducative, elle a souligné que l’adoption de meilleures pratiques et de l’assurance qualité garantissait que les établissements respectaient les normes internationales.
S’agissant de l’ACTS, la ministre Dookun-Luchoomun a souligné qu’il contribuera à améliorer la mobilité académique, à promouvoir l’innovation et la flexibilité des programmes d’études au sein du système éducatif national et régional, ainsi qu’à créer un paysage éducatif homogène et intégré en Afrique.